Je suis Giorgia Butera, sociologue de la communication, écrivaine, advocacy, militante de droit de l’homme, formatrice, je vais être nommé juge auxiliaire pour mineurs et pour la lutte contre la traite humaine. Je suis Présidente de l’Association italienne “Mete Onlus” qui mène une campagne internationale : “Je suis une petite fille, pas une mariée “. La défense et protection des droits de l’homme et de la dignité humaine sont au centre de notre idéologie.
Notre message est simple et constructive. «Stop mariages précoces et forcés ». Le choix de se marier ou de vivre un rapport affective-sexuelle doit appartenir à la libre volonté “.
Nous ne pouvons accepter que, même aujourd’hui, il y ait des millions d’enfants et d’adolescents victimes de mariages précoces, forcés et objet du avortements sélectifs. Cela implique a tort le développement physique, psychologique et émotionnel de l’individu.
Nous souhaitons contribuer à l’alphabétisation social et défendre le droit à l’éducation dans les régions vulnérables. Une fille instruite sera une femme libre et éclairée dans le temps.
Nous souhaitons de voir réaliser d’importants engagements internationaux pour transmettre l’éducation à l’affectivité comme un outil pour la protection des droits de l’homme. Nous voulons plus avoir des cas de femmes qui souffre en silence de mariages précoces et forcés dans tous les lieux du monde.
Je vous demande de soutenir notre engagement humanitaire international “Je suis une petite fille, pas une mariée“ à travers une contribution pour un travail de sensibilisation, de diffusion des connaissances et de mise en œuvre de bonnes pratiques contre cette humanité offensée par la conviction que le lien sentimental doit être lié à une contrainte.
«A l’occasion de la journée de haut niveau sur le thème des jeunes mariées organisée par l’ONU le 22 septembre 2014, nous avons manifeste notre volonté de promouvoir une campagne de sensibilisation, à promouvoir dans tous les contextes possibles, à partir du système scolaire.
Nous sommes convaincus que la connaissance généralisée et partagée de la condition des droits de l’homme déniés peut contribuer à une sensibilisation utile à un phénomène de changement “.
C’est ainsi que la campagne de sensibilisation a commencé (transformée, par la suite, dans la communauté internationale) à partir de la Sicile en 2014. C’est un engagement humanitaire international avec une pleine reconnaissance nationale et internationale.
“Je suis une fille, pas une jeune mariée” qui est l’advocacy Giorgia Butera, officiellement publié le lundi 22 septembre, a été anticipé par le journal d’Onu Italia, le dimanche 21 septembre, en utilisant notre affiche avec les crédits associés pour présenter la journée au Palazzo di Vetro, le 22 septembre 2014.
Le Président du Sénat de la République Italienne, Pietro Grasso, a envoyé une lettre de Louange.
L’ex Président de la République, Giorgio Napolitano a envoyé une lettre de félicitations.
Citant les paroles du président Giorgio Napolitano. “Son travail et celui de ses amis vont dans la bonne direction pour porter ces questions à l’attention de l’opinion publique”.
Les félicitations viennent de la Présidente de la Chambre des Députés, Madame Laura Boldrini.
Le Ministère des affaires étrangères et de la Coopération Internationale, Direction générale des affaires politiques et de sécurité, Office II (Droits de l’homme) a envoyé une lettre de remerciement.
Le consensus des médias est remarquable. La campagne est également arrivée à l’étranger.
La campagne s’est répandue rapidement sur le web, devenant virale.
Le Président de la République, Sergio Mattarella, a décerné la “Médaille de la valeur”.
“Je suis une fille, pas une jeune mariée” en septembre 2015, elle est devenue une communauté internationale.
Mete Onlus travaille en partenariat avec l’ONG “Girls Not Brides”.
Même en Italie, nous avons assisté de nombreux cas de très jeunes filles contraintes à des mariages précoces et forcés, en particulier dans ma ville, en fait, dans la Préfecture de Palerme a eu lieu il y a deux mois, l’Observatoire pour protéger les jeunes mariée.
Le phénomène est très répandu parce que nous l’avons forcé à émigrer, et nous accueillons des centaines de communautés étrangères qui, tout en s’intégrant, restent fidèles à leurs traditions culturelles.
Mais nous ne pouvons pas permettre aux filles et aux jeunes femmes d’être violées dans leur droit à l’existence.
Pour mon Pays, L’Italie, nous demandons donc que des programmes d’intervention éducatifs et socioculturels soient également mis en œuvre.
Nous voulons aussi mettre l’attention sur des cas internationaux de victimes de mariages précoces et forcés dans nombreux situations, comme :
Les petite filles en Yémen, en Bangladesh, en Afghanistan, en Érythrée, en Iraq, en Iran et en Somalie.
Je manifeste ma préoccupation aussi pour les femmes de Tindouf, en particulier pour le cas des jeunes filles sahraouies adoptées par des familles espagnoles et qui ont été détenues dès leur retour dans les camps de Tindouf pour revoir leurs familles, ainsi que sur les cas de mariage précoce et forcée dans le camps, une violation flagrante des principes des droits de l’Homme et de la dignité humaine”.
Enfin je suis très préoccupée pour les femmes et le petite filles en Syrie, constringent a toutes le formes de violences et abuses .