Je suis Sara Baresi et je parle en tant que Directrice Générale de l’OIDUR (Observatoire International des Droits de l’Homme et de la Recherche).
Depuis des années, je travaille avec des demandeurs d’asile et des réfugiés.
Je soumets à l’attention de la communauté internationale le droit de demander l’asile pour toute les personne en situation de privation de liberté, de guerre, de torture et de violation des droits fondamentaux.
Je réaffirme ma préoccupation pour les expulsions arbitraires de certains territoires comme l’Algérie et la Libye vers des lieux déserts sans assistance, nourriture, eau que garantissent une morte certaine.
Parmi eux de nombreux migrants ayant droit à la demande d’asile à laquelle elle est refusée.
Je manifeste ma préoccupation pour toutes les victimes d’abus, d’esclavage, de privation de liberté qui ne peuvent pas raconter leurs histoires dans une Commission Territoriale pour la Reconnaissance de la Protection Internationale.
Je signale des violations des droits à Tindouf depuis de nombreuses années, où les dirigeants proclament la liberté par le déni de liberté même.
La Communauté Internationale dans ses institutions et organisations ne peut pas continuer à être témoin de ces violations sans intervenir.